Cette espèce est endémique de la Martinique. Les dernières études UICN ont mis en évidence une grande fragilité de l’espèce liée à la fragmentation de ses habitats, à sa destruction directe et la prédation exercée par les espèces introduites (mangoustes notamment). Les données montrent que les populations sont en déclin depuis les années 70 au moins. L’habitat favorable de l’espèce se situe majoritairement dans le périmètre du bien au niveau de forêts mésophiles à hygrophiles.